Valentine Cotte
Après des études de gravure à l’école Estienne de Paris et de céramique à la HEAR de Strasbourg, Valentine invoque le dialogue du dessin et de la terre, et par ces biais explore l’ambiguïté des corps, entre images et objets. Au contact de matériaux vulnérables, elle questionne la fragilité de ces "peaux", et la notion du care dans son ambivalence, au regard de ces injonctions pour les personnes sexisé.es.
De ses uchronies visuelles, naît un répertoire de formes hybrides : une façon de faire résiliences collectives, et de réécrire des histoires silencieuses, à la croisée de l’écoféminisme, du post-humanisme et d’un médiéval émancipateur.