« En 1982, pour Libération, Alain Bizos s’était immergé dans l’ambiance rockabilly des Grands Boulevards, une boîte parisienne dans laquelle une belle jeunesse mélangée s’inventait une Amérique de clichés, dan- sait, draguait, buvait, rêvait d’ailleurs et d’autres mondes. Là, il fait swin- guer son cadre, sait s’attacher à des moments infimes, qui sont aussi des moments de tendresse ou d’intimité. »

Christian Caujolle